Pranarôm soutient depuis peu le coureur et marathonien Suisse Tarcis Ançay qui vient de remporter la deuxième place lors de la course Valaisanne Sierre-Zinal du 9 août dernier. Les huiles essentielles aident Tarcis dans sa pratique de la course et il est heureux d'en partager les secrets avec ses amis sportifs. Découvrez l'interview d'un sportif volontaire et convaincu par les huiles essentielles... x x Tarcis Ancay, qui êtes-vous ? Je suis né le 1er mars 1970 à Martigny, en Valais. Je suis célibataire, père d’une petite fille de 5 ans, Vanina. J’habite sur la commune de St-Jean, dans le Val d’Anniviers. Ma profession est facteur dans la même vallée. Mes passions sont le sport en général, la chasse, la nature, la pâtisserie, et bien entendu la course à pied. Votre palmarès est impressionnant : Champion suisse de marathon 2008-2009 , Champion suisse de semi-marathon 2005, 1er à Sierre-Zinal 2006, 4ème aux Championnats du monde longue distance en montagne en 2005. Mes meilleurs chronos : 2h17’ sur marathon ; 1h05’ sur semi-marathon et 29’56’’ sur 10km route Depuis combien de temps pratiquez-vous la course à pied ? J’ai commencé à courir à l’âge de 16 ans jusqu’à 20 ans. Je faisais essentiellement de la course de montagne. En 1989, j’ai obtenu le titre de Champion d’Europe de course de montagne. Puis j’ai fait une pause footballistique de 15 ans. C’est en changeant de lieu de travail pour me retrouver dans le Val d’Anniviers que ma carrière de coureur à pied a réellement commencé, à l’âge de 30 ans. Comment avez-vous découvert les huiles essentielles ? C’était plutôt épique ! Sur la ligne de départ de notre course mythique en Suisse, Sierre-Zinal, l’année dernière, j’avais reçu des directives très précises de mon ostéopathe (qui est devenue ma chérie depuis) concernant l’utilisation d’huiles essentielles, précisément l’épinette noire. Elle m’avait invité à m’en mettre 3-4 gouttes sur le dos de la main et les frotter sur la zone des surrénales. Trouvant cette quantité ridicule, j’ai pensé bien faire en me frictionnant copieusement du cou aux orteils et j’ai vidé le flacon entier ! Dès le départ, je me suis mis à suffoquer et je n’avais qu’une idée en tête, trouver un espace sur le parcours où l’hélico de secours pourrait venir me chercher et…me sauver la vie ! Il m’a fallu une bonne heure de course pour que mon corps élimine la surdose d’huiles essentielles ! Et le comble, c’est qu’un test anti-dopage était soumis aux coureurs à leur arrivée et j’ai eu très peur que les huiles soient considérées comme un dopant ! Et depuis, vous êtes-vous réconcilié avec les huiles essentielles ? Bien entendu, après cette mésaventure, je me soigne principalement avec les huiles essentielles contre le mal de cou, la sinusite, des tensions articulaires, des problèmes digestifs, mes tendinites, contractures musculaires etc… Gaulthérie couchée, eucalyptus citronné et beaucoup d'autres sont des alliées précieuses. Je me prépare également toujours à l'effort avec des huiles essentielles toniques, mais en respectant les doses bien entendu. Quel est votre plus grand défi ? Mon plus grand défi est de monter un team (le BCVS Mount Asics Team) et de former des jeunes dans la pratique de la course de montagne, de les guider, de les conseiller et de les inspirer afin de leur donner la chance de goûter à la joie de la victoire sur des courses comme Sierre-Zinal ou le Yungfrau Marathon. Que peut-on vous souhaiter dans les mois qui viennent ? Une santé que me permette de garder ma bonne humeur, ma joie de vivre, mon envie de courir encore de longues années. (interview partielle inspirée de l'interview recueillie par I.B.)