Entrez dans l’univers de la Haute Diffusion

bandeau les diffusables plantes

En touchant notre cerveau limbique, siège des émotions, sans passer par le filtre (rouleau compresseur) de notre raison, l’odeur d’une huile essentielle possède un pouvoir étonnant. Combinée aux vertus thérapeutiques de ses molécules, elle favorise une approche holistique et multi sensorielle de la personne qui en bénéficie. On le sait : la diffusion possède cette capacité de nous faire voyager en un instant. Elle nous transporte et nous soulève, en particulier si le mélange olfactif se réalise avec raffinement et subtilité. C’est pourquoi Pranarôm est parti à Grasse, à la recherche d’un nez pour refondre toute sa gamme de synergie diffusion. Les Diffusables étaient nés.

Composer comme un musicien

Le métier de nez a toujours fasciné et pour causeandnbsp;: il doit être capable de recenser plus de 1500 odeurs mais aussi savoir comment les combiner, c’est-à-dire connaître les accords de base utilisés depuis des générations tout en étant capable de s’en détacher suffisamment pour en créer de nouveaux. L’idée étant d’offrir au monde de nouvelles compositions uniques et étonnantes capables de provoquer une émotion.

Le plaisir sensuel d’une odeur inédite

Manipuler les huiles essentielles, matières nobles, riches et puissantes, a représenté un défi de taille pour notre nez. En effet, les instructions sont très précises. Conserver les HE de base des synergies d’origines pour leurs vertus thérapeutiques tout en créant un véritable parfum aux HE 100%, 100% bios.

L’objectif ? Combiner les énergies subtiles des huiles essentielles et la complexité de leurs odeurs. Notre nez a ainsi, tel un chef d’orchestre, cherché à offrir des perceptions nouvelles. A rendre hommage à la beauté de la nature et à faciliter les sensations émotionnelles qu’elles pouvaient provoquer en nous.

Des symphonies olfactives

Car c’est bien de cela qu’il s’agit : rendre aux odeurs leur pouvoir fascinant pour sublimer le quotidien. En combinant à la fois une odeur délicate et des vertus thérapeutiques, les huiles essentielles sont particulièrement bien placées dans la création de parfums à diffuser. Les Diffusables de Pranarôm sont nés de ces passions cumulées d’un nez et d’un pharmacien pour la complexité de la nature et les multiples facettes par lesquelles nous pouvons l’appréhender. Et ce, en se laissant envoûter par elle à travers nos sens.

Les diffusables : Zeste Tonic
les Diffusables : Zen
Les Diffusables : Force et Vitalité
Les Diffusables : Méditation
Les Diffusable : Eucaly'pur
Les Diffusables : Champ de Provence

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Les huiles essentielles en milieu hospitalier

Infirmière en cancérologie dans le secteur stérile depuis plus de 30 ans, Catherine Maranzana a commencé à intégrer les HE dans sa pratique depuis 2009, investissant dans un premier temps dans ses fonds propres. andnbsp;La rigueur de ses protocoles, le sérieux de sa démarche et l’accueil des patients ont petit à petit su convaincre ses collègues et le corps médical, en ce compris les autres services.andnbsp; Plusieurs fois primée pour son travail en aromathérapie scientifique clinique en milieu hospitalier (dont le prestigieux prix annuel de la Fondation Gattefossé en 2015), le travail de Catherine Maranzana fait l’objet d’un livre, Au Cœur des Essences, écrit par Sonia Blondeau et publié au Dauphin Blanc. Rencontre. Comment avez-vous commencé à utiliser les huiles essentiellesandnbsp;? L’odeur dans les hôpitaux, et à plus forte raison en service de cancérologie, ne favorise pas, pour ainsi dire, une sensation de bien-être. Nous avions coutume d’utiliser du papier d’Arménie mais la diffusion d’essence de Citron s’est révélée beaucoup plus agréable, et fait l’unanimité auprès des patients. Enthousiaste, je me suis ensuite intéressée au pouvoir des HE pour apaiser les maux du quotidien comme les nausées, les petites plaies ou encore le stress avant d’étendre, au fur et à mesure les protocoles, intéressant d’autres services comme la gériatrie. Quelle a été la réaction du personnel hospitalier ? Mes collègues ont témoigné beaucoup d’intérêt pour mes démarches, jusqu’à se former eux-mêmes aux huiles essentielles. 30 services utilisent aujourd’hui l’aromathérapie. Les médecins aussi témoignent de plus en plus d’intérêt, intégrant ces protocoles qui permettent d’humaniser les soins en apportant de la nature donc de la vie dans les chambres. L’aromathérapie est également très bien accueillie par les patients qui voient son arrivée comme une bouffée d’oxygène face à la sensation de saturation des médicaments et comme une libération en cas d’impasse thérapeutique. Quel est votre usage de prédilectionandnbsp;? L'application cutanée représente 80% de notre usage des huiles essentielles parce qu’il procure le triple bénéfice de détendre par le geste, de soulager par les principes actifs et d’agir sur l’émotionnel grâce à l’odeur. Lesandnbsp;neuroradiologues observent d’ailleurs une nette amélioration des clichés pris sur des patients dont le stress s’est vu diminuer grâce aux HE. Les psychiatres, quant à eux, andnbsp;affectionnent plutôt l'aspect olfactif des HE qui permet de cibler certains symptômes malgré la diversité des patients et des histoires. Quelles sont vos huiles fétichesandnbsp;? L’HE de Lavande bien sûr, associée à l’Essence d’Orange et à l’HE de Camomille Noble qui constituent un mélange sûr aux vertus anti-stress et bien-être avérées, d’une grande utilité dans tous les services confondus. Nous utilisons également l’Essence de Citron, et les HE de Gingembre et de Menthe Poivrée pour la digestion, ainsi que l’HE de Laurier Noble pour contrer la douleur et d’Hélichryse italienne contre les hématomes. L’HE de Petit grain Bigarade est particulièrement prisée par les Seniors qui en apprécient l’odeur. Pourtant, on évitera d'utiliser une HE seule pour éviter l’association de son odeur avec le milieu hospitalier et par conséquent le marquage olfactif négatif de l’HE dans l'esprit des patients. Quelles sont les limites à vos pratiquesandnbsp;? De nombreuses personnes utilisent déjà la phytothérapie sans en parler à leur médecin, ce qui peut être problématique. La démonstration d’ouverture du corps médical en la matière permet de délier les langues et d’éviter ces dérives. Aujourd’hui, 80% des personnes qui utilisent l’aromathérapie à l’hôpital continuent chez eux. Une belle avancée qui a ses limitesandnbsp;: Catherine Maranzana n’est pas partisane de la vulgarisation à outrance qui peut avoir ses dérives et préférera les produits prêts à l’emploi pour le grand public, si tant est que la marque fournisse des assurances sur la qualité de ses produits. --- Au Cœur des Essences. Lorsque les huiles essentielles s’invitent en milieu hospitalier, Sonia Blondeau, éd Le Dauphin Blanc, 2018

Les huiles essentielles en milieu hospitalier

Infirmière en cancérologie dans le secteur stérile depuis plus de 30 ans, Catherine Maranzana a commencé à intégrer les HE dans sa pratique depuis 2009, investissant dans un premier temps dans ses fonds propres. andnbsp;La rigueur de ses protocoles, le sérieux de sa démarche et l’accueil des patients ont petit à petit su convaincre ses collègues et le corps médical, en ce compris les autres services.andnbsp; Plusieurs fois primée pour son travail en aromathérapie scientifique clinique en milieu hospitalier (dont le prestigieux prix annuel de la Fondation Gattefossé en 2015), le travail de Catherine Maranzana fait l’objet d’un livre, Au Cœur des Essences, écrit par Sonia Blondeau et publié au Dauphin Blanc. Rencontre. Comment avez-vous commencé à utiliser les huiles essentiellesandnbsp;? L’odeur dans les hôpitaux, et à plus forte raison en service de cancérologie, ne favorise pas, pour ainsi dire, une sensation de bien-être. Nous avions coutume d’utiliser du papier d’Arménie mais la diffusion d’essence de Citron s’est révélée beaucoup plus agréable, et fait l’unanimité auprès des patients. Enthousiaste, je me suis ensuite intéressée au pouvoir des HE pour apaiser les maux du quotidien comme les nausées, les petites plaies ou encore le stress avant d’étendre, au fur et à mesure les protocoles, intéressant d’autres services comme la gériatrie. Quelle a été la réaction du personnel hospitalier ? Mes collègues ont témoigné beaucoup d’intérêt pour mes démarches, jusqu’à se former eux-mêmes aux huiles essentielles. 30 services utilisent aujourd’hui l’aromathérapie. Les médecins aussi témoignent de plus en plus d’intérêt, intégrant ces protocoles qui permettent d’humaniser les soins en apportant de la nature donc de la vie dans les chambres. L’aromathérapie est également très bien accueillie par les patients qui voient son arrivée comme une bouffée d’oxygène face à la sensation de saturation des médicaments et comme une libération en cas d’impasse thérapeutique. Quel est votre usage de prédilectionandnbsp;? L'application cutanée représente 80% de notre usage des huiles essentielles parce qu’il procure le triple bénéfice de détendre par le geste, de soulager par les principes actifs et d’agir sur l’émotionnel grâce à l’odeur. Lesandnbsp;neuroradiologues observent d’ailleurs une nette amélioration des clichés pris sur des patients dont le stress s’est vu diminuer grâce aux HE. Les psychiatres, quant à eux, andnbsp;affectionnent plutôt l'aspect olfactif des HE qui permet de cibler certains symptômes malgré la diversité des patients et des histoires. Quelles sont vos huiles fétichesandnbsp;? L’HE de Lavande bien sûr, associée à l’Essence d’Orange et à l’HE de Camomille Noble qui constituent un mélange sûr aux vertus anti-stress et bien-être avérées, d’une grande utilité dans tous les services confondus. Nous utilisons également l’Essence de Citron, et les HE de Gingembre et de Menthe Poivrée pour la digestion, ainsi que l’HE de Laurier Noble pour contrer la douleur et d’Hélichryse italienne contre les hématomes. L’HE de Petit grain Bigarade est particulièrement prisée par les Seniors qui en apprécient l’odeur. Pourtant, on évitera d'utiliser une HE seule pour éviter l’association de son odeur avec le milieu hospitalier et par conséquent le marquage olfactif négatif de l’HE dans l'esprit des patients. Quelles sont les limites à vos pratiquesandnbsp;? De nombreuses personnes utilisent déjà la phytothérapie sans en parler à leur médecin, ce qui peut être problématique. La démonstration d’ouverture du corps médical en la matière permet de délier les langues et d’éviter ces dérives. Aujourd’hui, 80% des personnes qui utilisent l’aromathérapie à l’hôpital continuent chez eux. Une belle avancée qui a ses limitesandnbsp;: Catherine Maranzana n’est pas partisane de la vulgarisation à outrance qui peut avoir ses dérives et préférera les produits prêts à l’emploi pour le grand public, si tant est que la marque fournisse des assurances sur la qualité de ses produits. --- Au Cœur des Essences. Lorsque les huiles essentielles s’invitent en milieu hospitalier, Sonia Blondeau, éd Le Dauphin Blanc, 2018