Pranarôm soutient Graine de vie

Connaissez vous l'ONG Belge Graine de Vie ? Vous possédez un spray assainissant Aromaforce ? Vous avez déjà planté un arbre sans le savoir !

[video width="1280" height="720" mp4="/img/ybc_blog/post/Pranarom-soutient-graine-de-vie-TB25img.mp4" poster="/img/ybc_blog/post/Pranarom-soutient-graine-de-vie.jpg" autoplay="true"][/video] En savoir plus sur notre partenariat avec Graine de vie : Assainir l’air que l’on respire… et planter un arbre !

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Un mot d'histoire

La connaissance des essences aromatiques existe depuis la nuit des temps. En voici les principales étapes: 40.000 ans av. J-C, les Aborigènes australiens utilisaient déjà les plantes aromatiques par les moyens rudimentaires de la fumigation (fumées inhalées provenant de feux de plantes aromatiques) et des cataplasmes (pâtes à l’argile mélangées aux plantes aromatiques et appliquées sur la peau). Hippocrate de Cospère de la médecine occidentale 5.000 ans avant notre ère, la première pharmacopée chinoise nous renseigne l’emploi de 2 plantes aromatiques majeures, toujours très utilisées à notre époque : le gingembre et la cannelle. 2.800 ans av. J-C, l’Egypte utilise les essences aromatiques dans le processus de momification, mais aussi en tant que médicament ingéré. 2000 ans avant J-C,  l’Inde nous apporte une approche médicale originale, l'Ayurveda, très axée sur les plantes aromatiques et leurs actions énergétiques. De la Grèce et de la Rome antique, Hippocrate de Cos (père de la médecine occidentale), puis Dioscoride et Galien nous lèguent leurs connaissances aromatiques dans de nombreux ouvrages de référence pour cette époque. Au XXIIe siècle, Hildegarde de Bingen, considérée comme la première véritable phytothérapeute moderne, crée des remèdes de santé à base de plantes encore utilisés aujourd'hui. Vers 1200, Avicenne (Ibn Sina), prince et médecin perse, invente le premier alambic digne de ce nom pour distiller les plantes aromatiques et produit la première huile essentielle pure: la Rosa centifolia. Les invasions arabes en Espagne et les croisades nous apportent cette technologie en Europe. Vers 1400, le pharmacien étit appelé Aromaterii et le vinaigre des 4 voleurs composé exclusivement des essences de plantes protégeait de la peste. Aujourd’hui, d’autres scientifiques et thérapeutes ont pris le relais pour faire reconnaître cette approche comme médecine à part entière : Gattefossé, Valnet, Duraffourd, Franchomme, Baudoux,....

Critères de qualité ou comment lire les étiquettes ?

L’un des fers de lance de Pranarôm est de maintenir un très haut degré de qualité de ses HE basé sur des critères très précis au travers d’un label, le HECT. Comment s’y retrouver ? Le label HECT veut dire Huile Essentielle ChémoTypée, mais représente un ensemble d’aspects qualitatifs qui vont au-delà de la notion de chémotype : L’huile essentielle concernée a été botaniquement définie et biochimiquement analysée. C’est cela qui compte vraiment lorsqu’on veut utiliser les huiles essentielles à des fins thérapeutiques. 100 % pures et naturelles : ni dénaturées, ni rectifiées, ni «allongées» pour en augmenter le rendement. Les plantes cultivées doivent être naturelles ou biologiques et celles qui ne peuvent pas être cultivées sont cueillies à l’état sauvage dans le respect des réglementations locales. Contrôle de toutes les étapes de production des huiles essentielles, y compris la distillation (eau utilisée, outil, pression, durée,…) Double contrôle en laboratoire par chromatographie en phase gazeuse et spectrométrie de masse de la composition biochimique de l’huile essentielle. Phase cruciale qui permet de connaître dans le détail tous les composés moléculaires d’une huile essentielle et ainsi de définir son profil thérapeutique avec précision. Quelles infos sur un emballage d’huile essentielle ? Nom commun complet de la plante et nom complet en latin. Eh oui, les mots HE de Lavande ne suffisent pas. Le nom latin permet de connaître précisément l’HE dont il est question et d’éviter les erreurs. Par exemple entre deux plantes au nom commun rapproché (comme Ravintsara ou Ravensare par exemple). Le premier nom désigne le genre, par exemple l'Eucalyptus. Or, un même genre de plante à l’espèce différente peut donner des effets totalement différents : l’eucalyptus citronné (eucalyptus citridodora) donne une HE réputée anti-inflammatoire grâce à des aldéhydes, alors que l’eucalyptus radié (eucalyptus radiata) donne une HE plutôt indiquée pour les maux de la sphère respiratoire. L’une ne peut pas remplacer l’autre et elles ne peuvent être confondues. Organe distillé Les diverses parties d’une même plante (fleur, feuille, tige, écorce, racine, etc.) peuvent produire des essences différentes. Par exemple, si l’on distille la fleur de la plante Citrus aurantium amara (l’oranger amer), on obtient de l’HE de Néroli tandis que si on distille la feuille de cette même plante, on obtient l’HE de Petit Grain de Bigarade. Une même plante donne donc deux ou trois HE différentes en fonction de l’organe distillé ! Composition biochimique Les composantes aromatiques d’une plante ne sont pas immuables. Une même plante, croissant dans des lieux différents, peut sécréter des essences très différentes en fonction de divers éléments comme l’ensoleillement, le climat, la composition du sol, l’altitude, etc. Deux chémotypes de la même HE présentent non seulement des activités différentes mais aussi des indices de toxicité très variables. Exemple:  Thymus vulgaris CT linalol = Thym vulgaire à linalol Thymus vulgaris CT thujanol = Thym vulgaire à thujanol Pranarôm mentionne aussi sur l’emballage d’une huile essentielle les quelques molécules aromatiques ou terpéniques les plus présentes dans l’huile. Pourquoi ? Pour nous aider à mieux comprendre à quoi l’huile essentielle peut bien servir et quelles sont ses contre-indications. Avec un peu de pratique et d’expérience, on arrive à reconnaître les familles biochimiques. On sait par exemple que les cétones sont des molécules dont le nom se termine en -one. Elles sont contre-indiquées aux femmes enceintes. D’où l’importance de savoir si l’huile essentielle que l’on s’apprête à utiliser en contient ou non. Et le bio ? Oui, le label bio apposé sur un emballage est important aussi. Il atteste qu’il s’agit réellement là d’une HE extraite d’une plante cultivée en bio et dont la production a été contrôlée. Chez Pranarôm, le mot « BIO »  signifie “issu de l’agriculture biologique“ et fait référence au contrôle Certisys BE-BIO-01. Il existe des dizaines d‘huiles essentielles bio dans l’assortiment très large de Pranarôm. En savoir plus sur les Huiles essentielles : andgt; Aromathérapie scientifique I Les huiles essentielles